Nous rejoignons #Mora, que nous revisitons avec plaisir, puisqu’on fait une pause gourmande dans notre pâtisserie préférée. Il fait chaud, 26 °c.
A #Vasalopett se déroule en février, la plus grande course de fond d’Europe avec un soupe de myrtille à la fin.A #Sveg la température passe à 14°c avec une pluie fine orageuse.
Entre #Orsa et Sveg, on fait le parcours sur un chemin pour le ski de fond, à VTT.
On passe la nuit au camping, 16 € la nuit: douches chaudes chauffées, cuisines équipées libre service, laverie et séchoir.. le grand luxe et le tout avec carrelage et faïence.
Puis on se dirige vers #Ortesünd, petite balade dans les bois avec traces d’élan sans les voir. Nous dépassons le centre de la Suède et approchons du Nord.
Ortesünd est une ville moderne aussi, sympa avec des rues commerçantes agréables, ensoleillées et calmes. On en profite pour dévorer de grosses glaces crémeuses: il faut bien prendre des calories pour la suite de l’expédition.
Du côté de #Stromsünd#, on bivouaque, mais on se fait attaquer par des fourmis-volante, si bien que nous sommes obligés de décamper ailleurs dans un endroit plus serein. Il refait chaud.
La nuit s’écourte, plus on monte vers le Nord: couchée de soleil vers 22h, nuit plutôt clair, et levée vers 3h30 du matin.
On passe par# Dorotea, il fait maintenant froid, on est les 10 août. A #Pitealven, on campe dans la nature au bord de la rivière et pleut toute la journée.
Notre objectif est de rejoindre #Jokkmott. Il fait froid. Nous arrivons aux portes de la Laponie. On s’arrête dans un café au couleur du grand nord, avec des personnes typées trappeur. Comme d’habitude, nous sommes les seules Français.
A chaque traversée de ville, on fait le plein d’essence et quelques courses d’appoint (ICA, Coop)
Nous poursuivons sur #Gallivare, on nous camperons pour la nuit. Victoria prend des cours de pêche en live avec un Suédois au bord de la rivière, tout en anglais. Il en profite pour réparer la canne à pêche de Victoria et lui indique quel hameçon mettre pour les rivières du coin, pour pêcher du brochet.
Dans les cuisines équipées du camping, nous mangeons en compagnie d’un vieux couples suédois, d’un randonneur français de passage, et d’une bande d’allemand.
La conversation tout en anglais, est sur les élans, loups, ours et les bons coins de randonnées. On apprend au passage quelques mots en suédois.
Après un mauvaise nuit passée par Laure, on poursuit notre route vers #Pajala pour ensuite passer en Finlande vers 12h. Nous jubilons d’être arrivé si loin (plus de 4000 km parcourus en zig-zag depuis notre départ);
Chaque jour, pendant les trajets qui ne dépassent pas les 4 heures de route, les filles en profite pour réviser leur devoir, sinon elles se chamaillent.
Le voyant de dysfonctionnement des tenseurs de ceintures s’allument de temps en temps, venant du fait que les caissons en bois que j’ai fabriqué dans le coffre pour mieux ranger la nourriture et bagages, appuient sur les fixations de ceintures.
Il pleut, 13 °c et fini le beau temps chaud. En France, il dépasse les 38, 39 °c à Cahors.
D’une manière générale, la végétation en Suède était plutôt sèche, les cours d’eau faibles. Le temps chaud ne touche pas que la France depuis juin, mais toute l’Europe aussi. En scandinavie, les sols sont secs jusqu’à prendre feu.
Dans le Nord, le temps est plus frais et humide.
A #Askalompolo, dans le parc, on bivouaque auprès d’un feu de camp laissé par deux Finlandais. L’accès est du vrai 4x4 et le premier chemin que nous empruntons n’est pas le bon, un pont traversant un ruisseau, n’étant pas suffisamment solide, on repart en marche arrière sur 500 m sous une pluie battante, sans visibilité les fenêtres ouvertes. Nous montons le bivouac sous la pluie, tout le monde est fatigué, et le premier camping est à plus de 1h de route difficile.
A suivre.....
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